Le Coran, tu t'abreuveras !

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PREDICTIONS REALISÉES

 

Le Coran contient une foule de prédictions qui se sont vérifiées par la suite. Sans parler de celles apportées dans la tradition prophétique. Pourquoi prendre tant de risques à faire des prophéties ?

 

 

 

I- "ALIF. LAM. MIM. - Les Byzantins ont été vaincus, dans la terre la plus voisine et, après leur défaite, ils vaincront à leur tour (les Perses) dans moins de dix ans (le mot bidh'a signifie de trois à dix ans). C'est à Dieu qu'appartient la décision au début et à la fin et ce jour-là, les croyants se réjouiront de la victoire obtenue par l'assistance de Dieu ; Il assiste celui qu'Il veut ; Il est Le Tout-Puissant, Le Miséricordieux. C'est là la promesse de Dieu ; Dieu ne manque jamais à Sa promesse, mais la plupart des Humains ne savent point; ils savent une simple apparence de la vie ici-bas ; quand à la vie future, ils ne s'en soucient pas" (Coran 30/1-6).

Les Perses étaient adorateurs du feu, et leur succès réjouit beaucoup les arabes idolâtres de la Mecque. "Vous", disaient-ils aux Musulmans "vous et les Chrétiens, vous avez un livre ; nous n'avons pas de livre, pas plus que les Perses ; nos frères les Perses ont vaincu les Chrétiens, bientôt nous aurons le dessus sur vous". Abou-Bakr fit alors un pari avec Obaï ben Khalaf que la prophétie serait accomplie dans l'espace de trois ans : la gageure était de dix jeunes chamelles. Le Prophète ayant appris le pari, fit observer à Abou-Bakr que le mot bidh'a signifiait un nombre de trois jusqu'à dix ; les termes du pari furent donc modifiés ; on fixa le temps à neuf ans et la gageure à cent chamelles. Obaï mourut à son retour d'Ohod, mais les Byzantins ayant défait les Perses sept ans après leur défaite, Abou-Bakr se fit donner les cent chamelles par les héritiers d'Obaï. Le Prophète lui dit : "Donne-les aux pauvres".

On remarquera ici que la prédiction de Dieu est précise, "dans quelques années" (bide'i sinina), le mot bide'i signifiant un nombre de trois à neuf, et s'appliquant à une époque très rapprochée : "les croyants se réjouiront... Dieu ne viole point ses promesses"

On ne conçoit pas qu'un homme de sens, qui prétend être prophète puisse s' engager au point d'annoncer que tel événement aura lieu infailliblement dans un laps de temps déterminé, sans être sûr de son fait. La réalisation de cette prophétie n'aurait pas été d'un grand avantage pour sa cause, tandis que la non-réalisation aurait porté une rude atteinte à sa mission.

 


 

II- "Dieu te préserve des Hommes" (Coran 5/67).

Avant la descente de ce verset, le Prophète (BSDL) avait des gardes pendant la nuit. Après ce verset, il leur a dit : "Partez, Dieu me préserve". Ceci est une information concernant l'avenir, comme quoi, le Prophète ne peut être tué par un Humain! Un homme sain ne peut affirmer cela surtout quand on sait le nombre d'ennemis qu'avait le Prophète (BSDL). Malgré le nombre de tentatives pour le tuer et malgré le nombre de fois qu'il a été au milieu des combats, souvent à la tête de l'armée musulmane c'est à dire le plus proche des ennemis (et ce sont ses ennemis qui le disent) ; malgré que l'étranger qui vient à Médine ne peut reconnaître le Prophète (BSDL) sauf si on le lui désigne (pas de garde corps, pas de protocoles, tout simplement un homme parmi les autres...) Malgré tout cela aucun homme ne put lui nuire jusqu'au moment où il alla jouir de l'éternelle félicité.

Est-ce encore le SUPER hasard ?!?

Celui qui annonce de telles choses ne peut être que celui qui connaît le passé, le présent et le futur !!

 


 

III- "Si vous avez des doutes sur le livre que nous avons envoyé à notre serviteur, produisez un chapitre au moins pareil à ceux qu'il renferme, et appelez si vous êtes sincères vos témoins, ceux que vous invoquez à côté de Dieu. Mais si vous ne le faites pas, et à coup sûr vous ne le ferez jamais, redoutez le feu préparé pour les infidèles, le feu dont les hommes et les pierres seront l'aliment" (II, 21-22).

Il annonce ici que jamais ils ne produiront rien de pareil. Ce verset prouve l'impuissance surnaturelle des Arabes sous quatre différents points de vue:

, Les Arabes avaient une haine profonde contre le Prophète et la religion qu'il prêchait, ils lui faisaient une guerre acharnée, au péril de leurs biens et de leur vie. Le défi qu'on leur adresse devait enflammer encore plus leur hostilité et il est certain que, s'ils avaient pu, en produisant quelque chose de semblable, démentir la prédiction divine, ils n'auraient pas manqué de le faire.

, Le Prophète était, même de l'aveu de ses ennemis, un homme de génie et de pénétration; un imposteur de génie n'ose guère pousser l'audace au point de mettre ses ennemis au défi d'une manière aussi absolue, sans être sûr de son fait. Si le Prophète n'avait pas su par inspiration divine que jamais ses ennemis n'auraient pu répondre à son défi, il ne les eût pas provoqués ainsi.

, S'il n'avait pas été certain de ce qu'il disait. il n'aurait pas affirmé que jamais ses ennemis ne produiraient rien de pareil; I'imposteur ne s'exprime point avec une telle précision.

, Ce verset est confirmé par ce qui s'est passé depuis le temps du Prophète jusqu'à nos jours; malgré le nombre des ennemis de l'Islam et leur acharnement, jamais on n'a pu opposer au Coran une composition qui en égalât le mérite.

Les versets que nous venons de citer, et bien d'autres encore, prouvent que le Coran est la parole même de Dieu, car Dieu a toujours soin de démentir les imposteurs qui parlent en son nom.

Le Deutéronome dit (XVIII 21-22): "Et si tu dis en ton coeur; Comment pouvons-nous connaître la chose que l'Eternel n'a pas dite ? Quand ce prophète parlera au nom de l'Eternel, et que la chose n'arrive pas, c'est une chose que l'Eternel n'a pas dite; le Prophète l'a dite avec effronterie: n'aie point peur de lui".

 


 

IV- "Diront-ils : nous sommes en grand nombre nous aidant les uns les autres ? Bientôt ce grand nombre sera dispersé, et ils tourneront tous le dos" (Coran 54/44, 45).

Omar raconte qu'il n'avait pas compris ce que voulait dire ce verset lorsqu'il fut révélé, "mais le jour de Badr", dit-il, "j'entendis le Prophète répéter les mots 'leur nombre sera dispersé', je compris alors le sens du verset".

 


 

V- "Vous entrerez dans le temple sacré, s'il plaît à Dieu, en toute sécurité, la tête rasée, sans crainte".

Ce verset descendait après l'accord de "Hodaïbia" qui était conclu par le Prophète (BSDL), après que les Mecquois ont refusé aux musulmans d'accomplir le pèlerinage, malgré pas mal de points dans le traité en défaveur des musulmans, chose que les compagnons du Prophète (BSDL) n'arrivaient pas à avaler.

Il en fut ainsi en effet, et les compagnons du Prophète entrèrent dans la Ca'ba, sans crainte et la tête rasée.

 


 

VI- "Nous t'avons affranchi des moqueurs" (XV, 95).

Quand ce verset fut révélé, le Prophète annonça à ses compagnons que Dieu l'avait enfin soustrait aux attaques des mécréants, qui le tournaient en ridicule et s'efforçaient de détourner les habitants de la Mecque de la nouvelle foi. Ils moururent tous peu après de différentes manières, et la lumière de Dieu brilla d'un éclat que rien n'offusqua plus.

 


 

VII- "Nous jetterons l'épouvante dans le coeur des mécréants" (ibid. 144).
Cela se réalisa deux fois à Ohod : lorsque les idolâtres, après avoir eu le dessus sur les Musulmans, furent pris d'une panique subite et sans cause, et lorsque, s'étant remis de cette panique et ayant voulu, honteux de ne pas avoir achevé la poignée de Musulmans qui n'avaient pas été exterminés à cette bataille, rebrousser chemin pour les poursuivre, ils furent pris d'une frayeur subite et retournèrent à la Mecque.

 


 

VIII- "Certes, nous avons fait descendre le rappel, et, certes, nous le conserverons" (XV, 19)
C'est-à-dire nous garderons le Coran dans son intégrité primitive, sans altérations et sans interpolations; aucune des sectes hérétiques qui se sont succédées n'a pu en changer une seule syllabe, ni en altérer une seule voyelle jusqu'à nos jours. Tandis que le Pentateuque et l'Evangile ont été corrompus, comme nous l'avons vu aux livres. I. et II.; et nous rendons grâce à Dieu de cette faveur. "Rien de faux n'y sera introduit, maintenant ou après, C'est une révélation du Sage, du Glorieux" (XLI, 42). Même observation que pour le passage précédent.

 


 

IX- "Celui qui t'a donné le Coran te rendra à ton ancien séjour" (XXVIII, 85).
On raconte que, lorsque le Prophète sortit de la caverne, il arriva à Johfah, station entre la Mecque et Médine ; à la vue de la route de la Mecque, il fut pris d'un ardent désir de revoir sa patrie et celle de ses pères. Gabriel descendit alors et lui dit : "Tu désires revoir le lieu de ta naissance ? Oui, répondit le Prophète. Eh bien ! Dieu dit : "Celui qui t'a donné le Coran, te rendra à ton séjour, (c'est-à-dire, la Mecque), en vainqueur de tes ennemis".

Après l'exode de la Mecque à Médine, suite à la persécution des mecquois à l'encontre des musulmans, Dieu a réalisé le souhait du Prophète (BSDL) qui est revenu en vainqueur à sa terre natale la Mecque.

 


Ramatoullah Alhindi : Manifestation de la vérité, Ed. Créadif Livres
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